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Boris Solonévitch, La Main de l'Amiral

 
Comment arriver à découvrir l’objet mystérieux caché vingt ans plus tôt par Derevenko, l’ancien ordonnance du tsarévitch, à la barbe de la police soviétique ? Entreprise insensée que ce jeu de piste mené par trois jeunes Russes résolus, et qui aurait échoué sans l’intervention inopinée d’un galopin de la pire espèce, l’un de ces enfants abandonnés, sans foi ni loi. 
Ce beau « roman de la jeunesse russe en Union soviétique », largement inspiré par la propre expérience de son auteur (Un Chef scout dans la tempête bolchevique), est un chant plein d’optimisme vis-à-vis de la jeunesse, face à la machine à broyer du guépéou, et en faveur de l’enfance abandonnée : il suffit parfois de peu de chose pour se l’attacher. 
Chant d’amour envers la Patrie, envers la monarchie, que les manuels communistes officiels caricaturent, on comprend que la traduction française de cet ouvrage (1942) soit passée inaperçue dans la France d’après-guerre, boycottée par le PCF... Espérons que la présente réédition ne subisse pas le même sort.

A partir de 15 ans


 Ref. A071  14x20 cm.  270 pages.

18 €
 

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